Savigny-Les-Beaune 2019 "Domaine Pansiot"
75CL/ 13% VOL
Savigny les Beaune blanc
Ce vin possède des arômes très fins et délicats, il n’ai certes pas très expressifs mais c’est bien tout ce qui fait son charme. Il est tour dans la douceur et délicatesse.
Il se mariera avec du poissons en sauces. et se conservera de 5 à 8 ans.
Le domaine Pansiot a été créé par Eric Pansiot, à Corgoloin, en 1981 avec seulement 4 hectares de vignes.
En 1994, il étend son domaine en faisant l’acquisition de 5 autres hectares.
En 2000, il créé une SCEA avec deux associés : sa femme Chantal Pansiot et Marc Thomson, un gallois.
Ils disposent alors de 15 hectares.
En juillet 2005, c’est sa fille Emilie Pansiot qui les rejoint.
Ils acquièrent alors des parcelles sur les communes de Meursault, Gevrey Chambertin, Beaune, Chorey les Beaune, Savigny les Beaune.
Le domaine ne cesse de s’agrandir et compte aujourd’hui 21 ha.
Blanc : or à reflets émeraude ou paille pâle, l'appellation Savigny-Lès-Beaune a le nez floral et riant. Son bouquet est volontiers beurré, brioché. Accents de citron, de pamplemousse, parfois minéraux. L’attaque, la vivacité contribuent à la franchise d’un vin net et franc, où s’exprime un gras persistant et quelquefois épicé, assez charnel.
Blanc : derrière une attaque vive et franche, qu’apprécieront les poissons d’eau douce en sauce blanche ou encore les omelettes et œufs brouillés, son bouquet riche et onctueux assurera une finale aimable et reposante. L'appellation Savigny-Lès-Beaune apprécie les fromages de chèvre, les gruyères, le comté, le cîteaux.
Température de service : 11 à 12 °C.
Comme une carte qui se déplie, le paysage s’élargit entre la Montagne de Corton et Beaune. Les hauteurs de la Côte de Beaune prennent un peu de recul, de part et d’autre d’une petite rivière le Rhoin. Le vignoble est ancien. Il a longtemps appartenu au domaine Ducal, aux abbayes voisines, aux chevaliers de Malte. L’important château du XIVème siècle signale les prétentions légitimes du cru. L’Appellation d’Origine Contrôlée a été instituée en 1937.
Sur des coteaux s’élevant en pente douce puis plus ferme, de 250 mètres à 400 mètres d’altitude, on trouve le cône alluvial du Rhoin et ensuite la géologie de la Montagne de Corton. Côté Pernand-Vergelesses, l’exposition plein sud bénéficie de sols graveleux, parsemés d’oolithe ferrugineux. En descendant, le calcaire brun-rouge devient plus argileux, caillouteux. En face, le coteau regarde le levant sur des terrains calcaires à nuances sableuses.
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Arômes & Saveurs |
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